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Elizabeth P.
Newman

...

Début du Flash-Back

« Lise ! Je suis rentré ! »
« J’arrive ! »

Il était vers les 8h40 du soir, le Soleil avait disparut depuis près de 4h. Le quartier était illuminé par les lampadaires, ce qui lui donnait un côté effrayant mais tellement chic. En passant dans la rue, on pouvait apercevoir des familles en pleins dîner, un couples en train de s’engueuler, des enfants devant la télé. Chez les Vendeuson, tout était calme, Henry venait juste de rentrer et Lise, comme il aimait l’appeler, faisait un peu de rangement. Elle avait entendu la voiture mais ne c’était pas précipitée, il fallait qu’elle range avec qu’il monte. Après, avoir finit de ranger ses affaires qu’elle avait sortit du sèche linge, elle se regarda dans le miroir au dessus de la commode près de la porte. Elle était prête, prête a lui faire face, la peur au ventre.

« Me voilà ! »

Sur ce, elle se retrouva en haut de l’escalier, lui en bas. Lise, ne s’empêche pas de rougir, quand l’homme en bas lui sourit. Elle connaissait sa pensée, il aimait ce qu’il voyait. En haut de l’escalier, une femme blonde, grande, arborait une robe noire, allant jusqu’au genoux, dos nu. La robe s’attachait derrière la nuque. Après avoir posé sa main sur la rambarde, elle descendit marche par marche en faisant attention de ne pas trébucher. Après avoir touché le sol, elle leva la tête, face a elle, un homme brun, plus grand, les yeux noisette tirant sur le vert. Ils s’embrassèrent, puis Lise alla vers le salon, il la rattrapa vers le canapé puis lui susurra les mots ;
« Tu es magnifique »
Lise lui sourit, quand elle était avec lui, ce sourire charmeur et timide ne pouvait la quitter.
« Tu n’es pas mal non plus ! »
« Sa te dis pas de sauter le dîner chez mes parents et passer directement a la fin de soirée. »
« Je sais pas, sa me plaît d’écouter ta mère qui me parle des soldats Américain qu’elles c’est tapé, et puis voir ton père bavé devant la bonne, c’est un spectacle a ne pas manquer ! »
« J’adore tes sarcasmes »
« Moi aussi je les aimes. Tu vas leurs dires quoi a tes parents ? Ils attendent ce dîner depuis longtemps. »
« Je dirais, que quand je suis rentré chez moi une déesse ce trouvait en haut des escaliers et je n’ai pas pu m’éloigner d’elle. »
« Sa me plaît comme excuse. »
Lise se pencha en arrière et attrapa une petit télécommande, elle appuya sur un premier bouton qui alluma la cheminée, un autre et la lumière se tamisa, un quatrième qui alluma la chaîne hi-fi. Alors que la chaîne hi-fi émettait de douce mélodie, Lise passa ses bras dernière le cou de son bien aimé, le gratifiant d’un baiser, puis d’un second, jusqu’à ne plus détacher ses douces lèvres de celle de son futur marié. Il détacha doucement ses lèvres et lui chuchota doucement :
« La tradition ne veut pas qu’on attende le mariage ? »
« Tu veux vraiment attendre le mariage ? »
Henry attrapa Lise qui souriait de la réponse de son amant. Il fit le tour du canapé et la posa dessus, doucement. Ce soir là, dans les maisons de Wisteria Lane, des familles dînaient, des enfants regardaient des émissions, des couples se cassaient, mais dans cette maison, deux corps fou d’amour l’un pour l’autre se réchauffaient l’un contre l’autre. A ce moment précis, personne ne savait que dans 4 ans, l’un des corps serait enterré clandestinement dans la forêt par l’autre.

Fin du Flash-Back

La maison n’avait guère changer, les buissons y étaient encore bien entretenue, la décoration intérieur n’avait pas changé a part quelque meubles qui avaient changé de place. Pourtant l’un des corps avaient disparut de cette maison, depuis 8 mois, les oiseaux ne chantaient plus dans le jardin. Alors, que je vous parles, et que j’évoque mes souvenirs, je suis devant mon miroir, la fameuse robe noire devant moi, cherchant une robe a mettre pour sortir. J’aimais bien cette robe, mais depuis, elle me dégoutte. Elle me dégoutte, car il m’a désiré dans celle-ci. Je ne pourrais plus la porter sans voir une femme blesser, agonisante dans son sang et ses larmes. La robe atterrit 2 mètre plus loin, dans le couloir. Hope était dans la salle de bain, j’entendais le bruit de la douche. Mes doigts attrapèrent un autre cintre, bien sur la robe ne lui plut pas. Le temps ne se prêtait pas vraiment a mettre ces robes. Elle ouvrit, la porte d’un autre placard.
Le bruit d’une cuillère cognant un bol, oui, c’était ça qu’elle entendait. Après sa séance d’essayage, elle avait trouvé un chemisier blanc et une jupe taille haute noir. Perché sur un tabouret de bar, Hope prenait son déjeuner devant la télé. Moi je mis les dernières touches a ma tenue chic, un collier, les boucles d’oreilles et les talons aiguilles noirs. Aujourd’hui, son planning était simple, 2 maison a visiter et 4 a faire visiter. La première était dans la quartier, et je devais y être dans 15 minutes. Après avoir échanger quelque mots avec sa cousine, elle une pomme, les clefs de la voitures sur le comptoirs en marbre et son sac. Elle quitta la maison, une fois dans la voiture, elle posa son sac, sa veste noire et la pomme sur le siège passager.
Il était 1h de l’après-midi, j’avais déjà visité 2 maison et fait visité 3 maison. Il m’en restait une a faire visiter, le rendez-vous était a 4h. Je passais devant le centre commercial, comment, une femme normalement constitué, avec une carte bleu assez fournit, peu refuser une séance shopping. Je ma gara, glissa ma veste et mes dossiers dans le coffre et remonta l’allée jusqu’à la porte du centre commercial.
A présent, je me trouvais dans un rayon d’un des magasins de vêtements, je ne m’attendais pas a croisé une personne que je connaissais, pourtant ça allait être le cas...