«Got a secret, Can you keep it?» || Beth Newman {U.C}

your title

(c) LIPSTICKPOISON
Newman, Elizabeth, Purple Jennifer Anne
21 juin 2031, 22 ans
Washington D.C, Etats-Unis
Agent Immobilier
votre statut: [ ] Célibataire [ ] En couple [ ] Marié(e) [ ] Divorcé(e) [X] Veuf/Veuve
Pas d'enfant.

your personality & story

votre caractère ;;
Altruiste ; Je n’utiliserais pas la définition complète d’altruiste car elle sera fausse dans mon cas. Pourquoi utiliser alors cet adjectif ? Tout simplement car je le suis mais a ma manière. Pour que je sois altruiste, il faut que la personne que j’aide fasse parti de mon cercle d’amis, ou que j’ai vraiment pitié d’elle. Je n’aide pas les inconnus ou très peu, sa n’apporte rien, a part des emmerdes et une perte de temps.
Consciencieuse ; Il ne m’est jamais arrivée de bâcler quelque chose que j’ai envie de faire. Je remplis mes obligations, en me plaignant quelque fois mais je le fais. Je n’apprécie pas le faite qu’on bâcle quelque chose, et je ne me gêne pas pour le dire.
Courageuse ; J’ai été courageuse quand j’ai regardé l’homme que j’aimais dans un de ses derniers souffles. Je l’ai tué de sang froid car je suis rancunière. Pourquoi devait-il de rester en vie, alors qu’il m’avait battu, violé, trompé, tué l’enfant que je portais, humilié, rabaissé. Je peux dire ce que je pense a des mecs baraquée faisant 3 fois ma taille.
Curieuse ; Comme toutes les femmes... Rien n’est pire que la curiosité, croyez moi. Ce trait de caractère peut m’empêcher de dormir, et dieu sait que je ne dors déjà pas beaucoup. Il met déjà arrivé de passer mes nuits assise sur le rebord intérieur de la fenêtre avec une paire de jumelle et a épié mes voisins.
Drôle ; J’ai un humour qui n’appartient qu’a moi. Je me fais rire toute seule, ce qui fais rire les autres. Je placerais mon humeur plutôt du côté de l’ironie. J’aime faire rire mes proches, pour leurs redonnée le sourire, ou pour sortir d’une situation difficile.
Impatiente ; Ne me faites jamais attendre, je peux être une vraie peste quand je m’y mets et me faire attendre est le meilleur moyen. Ma vie est remplit de A à Z, je n’ai pas envie de passer mon temps a attendre. La vie est courte, n’attendons plus !
Instable ; J’aime pas dire que je suis instable mais bon mon psychologue m’a désigné ainsi. Je le suis car, mon humeur peut changer d’une seconde à l’autre ce qui déstabilise les autres. Mais ce n’est pas tout, je suis aussi instable socialement, d’une parole a une autre je peux détesté la personne et avoir envie de la tuer alors que le lendemain je peux plus me passer d’elle. C’est assez dure pour moi encore plus pour les autres.
Observatrice ; Formation professionnel. On m’a apprise à l’être, sans quoi je ne serais pas la femme que je suis. Je me mets souvent à l’écart au début pour bien observer et ensuite je peux rentrée dans le monde qui s’ouvre a moi. Ainsi, je trouve les points faibles de mes camarades pour mieux les descendes quand il le cherche.
Rancunière ; Enormément, je n’oublie jamais un mauvais coups. Le meilleur dans ce défaut, c’est la vengeance. Rien ne sert d’être rancunière si ce n’est pas pour se venger. La seule façon pour pas que je me venge c’est de me demander pardon et ce n’est pas dit que j’accepte les excuses.
Sadique ; J’utiliserais ce mot ambigu surtout dans la forme, voir souffrir. J’aime voir souffrir les méchants dans l’histoire ou les bons, sa dépend qui me tape sur le système. J’adore mettre mon petit grain de sel afin de rendre la souffrance encore plus difficile. Appelé moi Cruella
Sarcastique ; Rien n’est mieux qu’utiliser des sarcasmes pour faire comprendre son point de vue. J’utilise aussi mes phrases fracassantes pour me foutre de la gueule des gens. Voir les visages quand ils comprennent que c’est de l’ironie me fait plier en quatre.

votre univers ;;
On naît, on vit, on meurt, ainsi est faite la vie. A peine née, on connaît notre triste destin. Je ne sais pas si vivre est mieux que mourir, car pour l’instant, personne ne peut nous dire comment c’est après la mort. Dans les deux cas, on souffre et on fait souffrir. On dit souvent « tu ne mérite pas de vivre », mais qui, qui réellement mérite de vivre ? Ce don qui est aussi un châtiment, est une chose vénérable, trop souvent oubliée. Par ce premier jour d’été de 2031, dans un grand hôpital privée de Washington D.C, je naissais. Armory Newman et Stephen Newman, ont consumé leur mariage 9 mois plus tôt, lui PDG d’une grande boite, elle photographe et journaliste. J’ai été habitué aux grand luxes, les meilleures écoles privés, cours d’équitation, de piano et de violon... Une vraie bourgeoise snob... J’ai été élevée par la meilleure gouvernante, bref mon enfance a été ennuyante, il n’y a rien de spécial a vous raconter la dessus, elle fut banale.

« Une prodige du violon reçoit un prix. »
J’avais 11 ans, j’étudiais le violon depuis 5 ans, le piano, depuis 4 ans, et l’équitation depuis 6 ans. Mes week-end, étaient dictés par les compétitions, les cours, les concerts. Chaque année, mon école qui faisait, maternelle, primaire, collège et lycée, était en partenariat avec la mairie, et organisait un concours de talent. Tout les élèves pouvaient participer. Il y avait plusieurs catégorie, classée par âge. Ce fut la première fois que j’y participais, poussé par ma mère et ma prof de violon. De plus d’avoir gagné la compétition de la catégorie, je gagna aussi la finale. Je remporta, alors un trophée, et 500 dollars, 300 bloqué dans mon compte déjà bien fournit et 200 a dépensé avec les parents. Après, cette première victoire, les autres suivirent, j’adorais les compétitions, enfin surtout gagner.

« Ce n’est qu’un au revoir »
Il y a bien une période de la vie où on redoute les changements. La plupart du temps, on redoute de grandir, de voir nos rêves s’évanouir, ou de perdre un ami. Moi ce fut les trois en même temps. Mes parents déménagèrent à Fairview, je perdis donc mes amis, mes rêves au conservatoire était fichu, et je du grandir, car jugée trop grande, mes parents ne reprirent pas de gouvernante. En plus, d’arrivée dans un endroit inconnu, j’étais seule. Mon père, était très prit par son travaille, et ma mère partait tout les 2 mois en voyage pour faire des photos et des articles. J’avais trouvée une façon, de me rendre plus importante que je ne l’étais...

« Premières fois »
Premières avec un s, car je parle de la première fête, la première cigarette, le premier verre d’alcool, le premier amour et tout ce qui suit. Je m’étais assez bien adaptée a ma nouvelle vie, de toute façon je n’avais guère le choix. Mes parents étaient souvent absent, j’en profitais pour faire des fêtes, où des gens pas très fréquentable se rendait, des choses illicites passait de mains en mains. Mon premier amour fut Jule Thompson, le livreur de journaux. Notre histoire dura 3 mois, avant que je me rendes compte qu’on était des opposés. Quand mon père, apprit grâce aux commérages, mes fêtes, et le fait que je fumais, j’eus le droit a des sermons, mais après tout je m’en fichais car la prochaine fois que je serais seule a la maison, je recommençerais...

« Oui, je le veux »
Chaque père, aimerait que sa fille dise cette phrase le moins tôt possible. Malheureusement, le mien, n’eut pas son mot a dire. J’avais décidé que j’allais me marié, et il ne pouvait m’arrêter. Pourtant, il n’a jamais cessé de m’aider, il m’a acheté une maison, une voiture et a participé aux frais du mariage. Même si je n’avais que 19 ans, que je connaissais mon futur époux que depuis 1 ans, il était riche, ce qui n’était pour déplaire à mon père. Henry, oui, c’était le prénom de l’homme que j’aimais, venait d’une famille d’aristocrate. Il avait un petit frère, que je rencontrais juste le jour de notre mariage. Ce fut un jour merveilleux, ma robe était fabuleuse... La décoration, tiré tout droit d’un conte de fée. Ce n’était que le commencement, il était drôle, galant, sa mère m’avait prévenu pendant le dîner, Henry avait le sang chaud, mais je ne m’inquiétait pas plus que ça.

C’était un soir de février, la pluie battait sur la fenêtre, un feu dans la cheminée. J’avais dîner seule comme tous les soirs depuis Janvier. Il avait beaucoup de travaille, je comprenais, ne lui en voulant pas plus que ça. Mes journées aussi étaient rudes, j’étais heureuse de pouvoir me calmer avant qu’il rentre. J’étais assise sur le canapé, devant la cheminée, avec une couverture en laine sur les genoux, ma plus belle nuisette, attendant que mon mari rentre, en lisant un livre. Il était 9h30, quand j’entendis la voiture malgré la pluie. Je me leva, plia la couverture sur le canapé, et posa le livre dessus. Il rentra, ne m’adressant aucun signe, jetant sa mallette par terre et son imperméable sur le canapé. Il alla directement vers le bar, après s’être servit un scotch, il chercha les glaçons, nous étions en février, j’avais pas l’habitude d’en faire a cette période.
« Où sont les glaçons ? »
« Il y en a plus depuis octobre, je dirais. »
« Tu te fou de ma gueule en plus ! »
« Non, bien sur que non. »
« Tu fou rien de la journée, a part traîner ton cul ! Tu peux au moins faire des glaçons, ou c’est trop dur pour ta cervelle ! »
« Je travaille ! Et puis, c’est mon cul, si j’ai envie de la traîner je le fais, que sa te plaise ou non ! Je suis pas ta putain de bonne ! »
Sur ceux, il lâcha le verre et s’approcha de moi, et me gifla si fort que je fus déséquilibrée. Sur le coup, je fus terrorisé, son regard noire, je préféra fuir, m’enfermer dans la chambre. Il me rejoignit a 1 heure du matin, j’étais allongée sur le côté, les yeux grands ouverts, encore effrayé. Il se glissa sous la couette, non sans un frisson, avant que je sente sa main froid sur mon bras. Il s’excusa dans le creux de mon oreille, croyant que je dormais.
Ce fut la première fois, mais pas la dernière, les autre raisons étaient tout aussi stupide, un regard, qui ne lui plaisait pas, la vaisselle pas faite, la viande pas assez cuite ou trop...
J’en pouvais plus, je cachais mes bleus avec des vêtements qui n’étaient pas forcément de saison, les grande lunettes noires n’était plus un accessoire mais un nécessaire. Mes séjours a l’hôpital étaient cachés a mes preuves, car certaines de mes blessures étaient graves. Je n’osais plus lui dire non, je ne savais pas combien de temps j’allais encore vivre ça, mais chaque soir, j’espérais qu’il allait enfin réussir a me tuer.
Avec tout ça, je ne remarqua pas le retard, j’en pris conscience quand, a un dîner de famille, ma mère évoqua le fait qu’elle aimerait bien avoir un petit fils. Deux jours après, j’avais passé le test, qui c’était révelé positif, j’en passa un deuxième puis un troisième. Tous positifs, il ne devait pas l’apprendre, car il n’aimait pas les enfants. Mais bon, je ne sais comment, il l’apprit, la meilleure façon, de perdre un enfant, est une chute totalement banale dans les escaliers, il l’avait comprit. A l’hôpital on m’apprit, que j’avais un bras cassé, et que j’avais perdu mon enfant. Il avait gagné. J’attendis, de reprendre des forces, profitant des journées, où il n’était pas là pour m’éclipser, volant une arme a mon père. Je l’attendais, c’était pour ce soir, la pression montait mais j’étais prête, prête a me défendre si il le fallait.
Ce soir là, depuis pas mal de temps, il goutta a ma rage, je savais me défendre malgré lui. Mais il était fort, il ma poussa, je m’assomma contre la table, quand j’eus repris mes esprits, il «était assit sur la banquette, regardant un math comme-çi de rien n’était. J’attrapa un vase et je l’assomma. J’attendis son réveille, puis avec un oreiller sur le canon, je tira trois fois. En pleine poitrine. Malgré mon gabarit, je réussis a le tiré dans la voiture, et l’enterra dans le jardin. Mon excuse était toute trouvée, toute la ville où presque savait qu’il aimait la compagnie d’autre femme...

« Un nouveau départ »
J’étais veuve, mais personne ne le savait. Décidé à mordre la vie a plein dent. Ma petite cousine, ayant des problèmes avec ses parents, vivaient avec les miens. Je savais que c’était barbant de vivre avec eux. A présent, elle vit avec moi à Wisteria Lane. Je suis agent immobilier, je gagne bien ma vie. J’ai enfin une belle vie, j’en profite un maximum.

votre secret ;;
J’avais une vie parfaite, mon avenir était tout tracé, puis j’ai trouvé l’homme parfait. Enfin c’est ce que je pensais a ce moment. J’avais 18 ans, lui 20, on c’est marié un an plus tard. Les premiers mois, furent merveilleux, mais il commença a changé, a être vulgaire avec moi. Puis, ça a commencé par une gifle, puis deux, ensuite c’est devenue plus violent. Je me forçais de paraître heureuse. Pendant 2 ans, j’ai vécu un calvaire. Puis j’ai appris que j’étais enceinte, il est tombé sur le test de grossesse et m’a poussé dans les escaliers. J’en pouvais plus, un soir où il est rentrée, on c’est battu, c’était plus violent que les autres jours, sans doute car je m’étais défendu, il m’a poussé, je me suis prise le coin de table, j’étais juste sonnée, j’ai attrapé un vase et je l’ai assommé. J’ai trouvé une arme a feu, a son réveille, j’ai tiré trois balles, il est tombé raide mort. Je l’ai enterré dans un bois, faisant croire aux voisins qu’il était partie pour une autre. Tout le monde le connaissait, il était volage, c’était parfait. J’ai perdus l’enfant.

your personality's test

[X] Thé ou [ ] Café [X]Nesquik
[ ] Jour ou [X] Nuit
[ ] Chocolat ou [X] Vanille
[X] Noir ou [ ] Blanc
[ ] Paris ou [X] Nicole
[ ] Blond(e) ou [X] Brun(e)
[ ] Bière ou [X] Coca
[X] Été ou [ ] Hiver
[ ] Chien ou [ X Chat
[ ] Left sidewalk ou [X] Right sidewalk

and you?

on est tous quelqu'un ;;

avatar ;; Katie Cassidy <33
pseudo ;; Mistinguette
âge ;; 15 ans
où avez vous connu le forum? ;; top-site
fréquence de connexion /7 :: 5/7
autre chose à rajouter? ;; Nope